Abstract

Although progress has been made over the last 20 years, the burden of a low income in old age is still carried by unattached women. Few researchers, however, have examined exactly where the burden of poverty falls within the category of unattached older women or what the nature of this poverty is. Like any other group of older Canadians, unattached women are not a homogeneous population. The category of unattached includes the separated, divorced, widowed, and ever single, all of whom face different circumstances in old age because of differences over the life course. Using Survey of Labour and Income Dynamics (SLID) data, we examine income and sources of income from 1993 to 1999 to identify differences among these groups. The findings indicate that the separated and divorced are the poorest of all older unattached women in Canada. A key source of the difference is the differential growth in private pension incomes.

Bien que les choses se soient améliorées depuis 20 ans, les femmes âgées seules à faible revenu continuent d'être affligées par le fardeau de la pauvreté. Pourtant, peu de chercheurs se sont attachés à savoir qui, parmi les femmes âgées seules, supportent ce fardeau et quelle est la nature de cette pauvreté. Comme les autres groupes d'aînés canadiens, les femmes seules ne forment pas une population homogène. La catégorie des femmes « seules » comprend les femmes séparées, divorcées, veuves et celles qui n'ont jamais été mariées, et qui toutes font face à des situations différentes au moment de la vieillesse parce qu'elles n'ont pas eu le même tracé de vie. Pour cerner les différences entre ces groupes, nous avons utilisé les données de l'EDTR pour examiner les revenus et sources de revenu entre 1993 et 1999. Selon nos conclusions, les femmes séparées et divorcées sont les plus démunies de toutes les aînées canadiennes seules. Ce fait est imputable en large part à la croissance différentielle des revenus de retraite complémentaire.

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